¥Rasta n'est pas rebelle, Rasta est d'abord humble¥ ....Jah rastafarI

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tarikrasta@hotmail.com

34 articles publiés
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Créé le : 19/01/2006 14:12
Modifié : 17/11/2006 14:58

Garçon (20 ans)
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[ tarikrasta ]

 

TarikRasta

19/01/2006 14:23

TarikRasta


et voila la c moi...Tarik manahi
                                tarikrasta..
                               20ans
                               J'aime la music reggae...et le style Rasta et c mon style preferé....et Danc chui un rastaman...
                             


Commentaire de marquisedesanges59 (19/01/2006 14:49) :

cadeau

http://marquisedesanges59.vip-blog.com/

Commentaire de nanasplif@hotmail.com (04/08/2006 12:37) :

salut! dis moi, ton blog est vraiment super interessant et tu as de mechantes photos de bob mais je recherche une image particuliere mais je ne l'ai pas trouvé sur ton blog. je recherche l'image où bob réunit le premier ministre michael manley et le leader de l'opposition edward seaga, la photo où ils sont mains dans la mains au concert one love peace le 22/04/1978 à kingston. j'attend une reponse de ta part merci par avance




 

 

parentheses RASTA !

19/01/2006 15:08

parentheses RASTA !


Rasta:
mouvement mystique, politique et culturel propre aux Noirs de la Jamaique et des Antilles anglophone. La musique reggae en est une manifestation.

Caracteristique:
Les Rastas portent des dreads.

Accent:
Les Rastas parlent dans un patois avec un lourd accent jamaiquain, même quelques Jamaiquains n'arrivent pas à les comprendres.

Surnom:
Les Rastas ajoutent; Jah devant leur prénom...

Leur nouriture:
Ils ne mangent pas de sel, et quelque fois ils assaisonnent leur nouriture avec du Ganja. Ils ne mangent pas de porc. Malgré cette interdiction plusieurs Rastas cachent du porc haché sous leur riz.

Leur ambition dans la vie:
Ils veullent demeurer des Rastas le plus longtemps qu'ils le pouront. Aucun Rasta ne veut tomber dans les mains de Christiannisme.

Voila tout sur les rastas.


Commentaire de zbabe59 (06/08/2007 15:43) :

zbabe59 et juste un blog pour le plaisr et non pour les coms !! bye


Commentaire de zbabe59 (06/08/2007 15:43) :

zbabe59 et juste un blog pour le plaisr et non pour les coms !! bye




 

 

Bob Marley - biographie et discographie de la Superstar du reggae

23/01/2006 12:01

Bob Marley - biographie et discographie de la Superstar du reggae


5 décembre 1976 : La tentative d’assassinat de Bob Marley en plein concert ne l’empêche pas de conclure sa performance mais le contraint à l'exil

" I have to run like a fugitive to save the life I live"                Iron Lion Zion

 

   Cet événement historique témoigne de la violence endémique qui règne en Jamaïque et qui conditionne le contexte social, politique et culturel dans lequel le reggae s’est développé.

Bob avait accepté de participer au Smile Jamaica concert, programmé au National Heroes Park de Kingston le 5 décembre 1976. Bien qu’il se défende de faire de la politique, Le concert apparaît clairement comme un soutien de Bob au gouvernement de l’époque, dirigé par Michael Manley, le leader du parti de gauche, le PNPN. L’affiche du concert 'Smile Jamaica' contenait d’ailleurs la mention suivante : 'Concert presented by Bob Marley in association with the Cultural Department of the Government of Jamaica'. Bob reçut des menaces de mort de la part des hommes de main du JLP, le parti de droite, convaincu que cette publicité faite à leurs adversaires politiques leur permettrait de gagner les élections à venir.

Quelques jours avant le concert, Bob et sa famille sont victimes d’une tentative d’assassinat à leur domicile, au 56 Hope Road. Un homme armé débarqua et se mit à tirer sur les personnes présentes. Don Taylor, le manager des Wailers, reçut quatre balles. Rita Marley fut également blessée de plusieurs balles. Bob, lui, fut touché à la poitrine et au bras gauche. Lewis Griffith, un ami de Bob, fut également blessé, assez sévèrement. Heureusement, personne ne fut tué cette nuit là. Choqué, tous se réfugièrent dans les montagnes au-dessus de Kingston, pour se mettre à l’abri. A ce moment, les Wailers ne savent plus s’ils doivent participer au concert.

Lorsque le moment de jouer arrive, c’est le groupe Third World qui débute le concert, Bob, Bunny et Peter étant absents. Burning Spear, également inscrit au programme, n’est pas là non plus. Attirée par l’affiche, plus de cinquante mille personnes s’amassent pourtant sur le lieu de l’événement. Finalement convaincu de venir par talkie-walkie – il peut entendre la foule réclamer sa venue – Bob descend à Kingston escorté par la police, dans une Volvo rouge où Bunny et Peter ont également pris place. Prévenue de l’arrivée imminente des Wailers, la foule de Heroes’s Park exulta, donna à l’instant une profonde intensité.

Lorsque Bob arriva sur scène, il s’adressa au public pour affirmer sa neutralité et apaiser les conflits latents.

"When me decided ta do dis yere concert two anna 'alf months ago, me was told dere was no politics. I jus' wanted ta play fe da love of da people."

Affaibli, incapable de tenir sa Gibson à cause de sa blessure, Bob annonça qu’il ne jouerait qu’une chanson. Sur ce, il entama un set époustouflant de 90 minutes, ouvert avec War. Heureux, victorieux et rigolard, Bob quitta la scène en mimant un cow-boy en plein duel, exhibant sa blessure puis partant dans une danse africaine. Après ce succès, Bob s’envola pour Londres, où il devait séjourner 18 mois, à l’abri des violences de la Jamaïque.



Commentaire de goodvibes972 (31/01/2006 11:23) :

yes i massif , bien ton blog, complet,trankil, bien les cadeau aussi

http://goodvibes.vip-blog.com

Commentaire de rasta (29/07/2006 22:13) :

tro fort ton blog! j'ai bien aimé! paix à toi Bob marley, t'es pas mort!! PEACE jahlove111.skyblog.com


Commentaire de rootseuze (28/11/2006 21:13) :

Hey hey, niCe...nice!!! rOlala bOb le roi...mon roi^^ il jOue maintenant au paradiS!... reggae's a peace muSiK! dede4444.skyblog.com PeaCe!..


Commentaire de hippie-cool@hotmail.fr (29/09/2007 23:28) :

tres joli plog ^^

http://mec-kenitras.skyblog.com

Commentaire de Gnja abdel (16/12/2007 20:08) :

franchement ce blog tres charman, vrai ce blog m as plu j ai le bien aimé!! en dir sympa trop l3az...

http://breakabdebeau.skyblog.com
style_bboy98@hotmail.com



 

 

Bob Marley - biographie et discographie de la Superstar du reggae

23/01/2006 12:05

Bob Marley - biographie et discographie de la Superstar du reggae


22 avril 1978 : One love Peace Concert à Kingston : Bob réconcilie pour quelques heures les factions politiciennes qui déchirent la Jamaïque

"Emancipate yourself from mental slavery/ None but ourselves can free our minds …"
Songs of freedom

Cet événement marque le retour triomphant de Bob Marley en Jamaïque après l’exil auquel l’avait forcé la tentative d’assassinat dont il avait été la victime. Au-delà de ces retrouvailles entre le dieu du reggae et ses fans, le concert est une date historique car elle marque la réconciliation, au moins symbolique, entre le Premier Ministre Michael Manley et le leader de l’opposition, Edward Seaga. Leur rivalité avait conduit l’île au bord de la guerre civile, les membres de chaque camp s’opposant de façon violente dans les rues de Kingston et des autres villes de l’île. Seul Bob Marley était en mesure d’initier un tel rapprochement. Par son charisme, il permet au peuple jamaïcain de retrouver un semblant de paix.

Au début de 1978, deux sujets de conversations occupaient les Jamaïcains. Le premier était la pénurie de produits alimentaires, orchestrée par les Etats-Unis pour déstabiliser le gouvernement de Michael Manley. Le second concernait l’imminent retour sur l’île de Bob Marley après son exil volontaire aux Etats-Unis.

Les deux partis du pays, le PNP (People's National Party) et le parti de droite, le JLP (Jamaican Labour Party) avaient constitué des groupes armés pour porter dans la rue leur opposition idéologique. Les deux groupes recrutaient des hommes de main dans le ghetto, où les voyous étaient prêts à tout contre quelques dollars. Certains leaders, comme Claudie Massop pour le JLP ou Bucky Marshall pour le PNP, commencèrent même à acquérir un statut de superstar.

L’avion de Bob arriva à Kingston (aéroport Palisadoes/Norman Manley) le 26 février 1978. Dès cet instant, Bob Marley savait que son retour n’avait de sens que s’il parvenait à mettre fin à l’escalade de la violence, qui divisait l’île et effrayait ses habitants. Heureusement, le rapprochement avait été initié un peu plus tôt à Londres, début février. Lors d’un tournage vidéo, Bob avait été approché par des miliciens des deux camps, venus lui demander s’il accepterait de participer à un show, le "One Love Peace Concert", dont l’objectif était de mettre fin aux rivalités meurtrières.

Le concert connut un succès qui dépassa toutes les espérances, d’autant que les médias saisirent l’occasion pour se pencher sur la situation politique de l’île. Toutes les stars du reggae étaient présentes, dont Jacob Miller, Inner Circle, The Mighty Diamonds, Trinity, Dennis Brown, Culture, Dillinger, Big Youth et Ras Michael and The Sons of Negus. Pour marquer le coup, les Wailers décidèrent de sortir un album dédié à l’occasion, Kaya.

Pendant le concert, Bob Marley harangua Michael Manley et Edward Seaga, leur reprochant de persécuter les rastas pour leur amour de l’herbe. Il alluma un joint sur scène, puis leur demanda de le rejoindre pour se serrer la main, montrant par leur exemple que le combat politique devait rester un dialogue entre frères :

"To make everything come true, we've got to be together, yeah, yeah. And to the spirit of the most high, His Imperial Majesty Emperor Haile Selassie I, run lightning, leading the people of the slaves to shake hands. . . To show the people that you love them right, to show the people that you gonna unite, show the people that you're over bright, show the people that everything is all right.
Watch, watch, watch, what you're doing, because . . . I'm not so good at talking but I hope you understand what I'm trying to say. I'm trying to say, could we have, could we have, up here onstage here the presence of Mr. Michael Manley and Mr. Edward Seaga. I just want to shake hands and show the people that we're gonna unite . . . we're gonna unite . . . we've got to unite . . . The moon is high over my head, and I give my love instead. The moon is high over my head, and I give my love instead."

Pour donner plus de force à cette réconciliation symbolique, Bob exhorta la jeunesse jamaïcaine à travailler pour la paix.

"Yes, the Peace, is really the Youth of Jamaica started it really. Asked me to help and get it together, y'know, knowing that I was one of the victims during the time of the politics. This peace work, it don't stop ... it never stop ... We know it never stop. That mean, we the youth got a work to do."





 

 

Indépendance du Zimbabwe

23/01/2006 12:08

Indépendance du Zimbabwe


Every man gotta right to decide his own destiny"
Zimbabwe

Le 17 avril 1980, Bob Marley joue à Harare, au Rufaro Stadium, à l’occasion des festivités qui marquent l’indépendance du pays. Il avait été invité par le gouvernement nouvellement élu, notamment en raison du soutien apporté à la ZANLA au travers de sa chanson Zimbabwe.

Personne n’avait songé à indiquer aux Wailers le cadre dans lequel ils allaient jouer : le show était programmé à la suite des cérémonies d’indépendance et pour un parterre exclusif de personnalités internationales, dont Robert Mugabe, le nouveau Premier Ministre, le Prince Charles et Indira Gandhi. En tout, 104 chefs d’Etat ou représentants assistaient à ce spectacle. De fait, les Wailers furent un peu pris par surprise, n’étant pas prêts lorsque le speaker annonça leur show, juste après la fin de la cérémonie d’indépendance.

En définitive, les premiers mots prononcés dans le Zimbabwe indépendant, alors que le nouveau drapeau était à peine hissé sur le mat furent

"Ladies and gentlemen, Bob Marley and the Wailers !".

Bob cria "Viva Zimbabwe !", et le show s’ouvrit sur Rastaman vibrations, avant de se poursuivre par Them belly full. Alors que Marley entamait I shot the sheriff, un chahut impressionnant commença : la foule amassée dehors, à la fois excitée et furieuse d’être tenue à l’écart de l’événement, se mit à s’agiter et cassa les portes du stade, provoquant un désordre inattendu. Les forces de l’ordre intervinrent pour stopper le concert. La police blanche de l’ex-Rhodesie balança des gaz lacrymogènes sur la foule noire amassée en dehors du stade. Les rythmes joués par Familyman, le bassiste des Wailers, faisaient monter la pression. L’ordre ne revint que lorsque les guérilleros de la ZANLA (Zimbabwe African National Liberation Army) traversèrent le stade le poing levé, assurant les personnes présentes que la police ne pouvait pas mettre fin aux célébrations.

Bob Marley revint sur scène après un quart d’heure d’interruption, en criant "Freedom !". Un speaker anglais, d’une voix pincée, lui annonça par haut-parleur "Bob Marley, you have exactly two minutes left". Marley répondit par la provocation en entamant War, hymne à la paix et à la libération de l’Afrique, morceau d’anthologie créé par la mise en musique du discours prononcé par Heilé Sélassié devant les nations unies.

"Until the ignoble and unhappy regimes/ That now hold our brothers/ In Angola/ In Mozambique/ South Africa/ In subhuman bondage/ Have been toppled/ Utterly destroyed/ Everywhere is war"
War

Certains spectateurs se joignirent à Bob Marley pour chanter et danser avec lui sur scène, reprenant en chœur un refrain adressé aux voisins sud-africains, où l’apartheid demeurait : "there will be war until South Africa is free". Les scènes d’allégresse se poursuivirent, la foule étant désormais rassurée sur son avenir. La fête devenait une façon de montrer aux racistes blancs qu'un pays nouveau se construisait et que, contrairement à ce qui avait été dit, les noirs de Rhodésie ne devraient pas attendre 2035 pour prendre leur destin en main. L’atmosphère resta surréaliste. Neville Garrick, l’ingénieur rasta qui assurait la production des concerts des Wailers, avaient orienté son impressionnant dispositif de façon à pouvoir faire entendre la musique à la foule restée en dehors du stade, dans des conditions plus que satisfaisantes. Pour cela, plus de 40 ensembles de baffles, tweeters, mixers et jeux de lumières avaient été mobilisés. Ce n’était pas le convoi de semi-remorques qui suit aujourd’hui le Rolling Stones circus mais, pour l’époque et pour le lieu, l’effort était considérable. Le résultat était à la hauteur : la puissance sourde et lourde de la batterie s’entendait dans le ciel africain de la capitale libérée tandis que l’énergie, la force spirituelle, l’histoire et l’émotion du reggae se diffusaient autour du stade. Aussi, lorsque Marley gémit "we don’t need more trouble" (War), l’atmosphere devint plus calme.

Les deux dernières minutes concédées par le colonisateur sur le départ étaient quinze, les Wailers chantèrent "Africans a liberate Zimbabwe". La foule reprit le refrain et Bob conclut son show en appelant à l’unité pan-africaine, composante essentielle du message rasta.

Bob réédita l’expérience le lendemain, offrant un concert gratuit à 100 000 personnes, les pauvres, les chômeurs et les ouvriers qui n’avaient pas pu assister aux célébrations depuis les gradins du stade. Les Wailers furent particulièrement bons, jouant avec une énergie proche de l’extase, bien que Bob Marley parut un ton en dessous de sa forme habituelle, sans doute un peu dépité par les gaz lacrymo de la veille et affaibli par la maladie. Pour lui, un nouveau combat débutait.

Les Wailers passèrent une semaine au Zimbabwe, se comportant en véritables ambassadeurs de la Nation Rasta. Ils organisèrent des matches de foot amicaux, rencontrèrent le Président Canaan Banana et les guérilleros dans leurs camps.



Commentaire de Gnja abdel (16/12/2007 20:10) :

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